Tonton Philoche étant occupé aux fourneaux hier, son petit billet hebdomadaire s'est fait attendre, mais le voilà.
Sur les Kottbular épicées, il se lance, un Gran Coronas (2003 si vous pouvez trouver) de la maison Torres. Ne pas le prendre trop jeune et s'il a 3 ans, le carafer 2 heures avant de le servir.
L'élevage et et l'équilibre de ce vin en font un petit trésor sur ces boulettes : les épices du plat se marieront à merveille avec les tanins soyeux et le côté aromatique sans excès de ce vin.
Evidemment il faudra quelques pesos et un bon caviste qui saura vous réorienter s'il n'avait pas cette bouteille. Attention, ne vous laissez pas entraîner par un caviste "assoifé" de dineros vers les grands vins de la maison Torres (Mas La Plana) qui écraseraient les épices plutôt douces de ce plat.
Avec les tomates farcies, une jeune rouge Patrimonio, le carafer une heure avant de servir.
Sur les escalopes et les gnocchis, un bordeaux souple comme un jeune Lussac Saint Emilion, du goût mais des tanins pas trop marqués.
Sur les Kottbular épicées, il se lance, un Gran Coronas (2003 si vous pouvez trouver) de la maison Torres. Ne pas le prendre trop jeune et s'il a 3 ans, le carafer 2 heures avant de le servir.
L'élevage et et l'équilibre de ce vin en font un petit trésor sur ces boulettes : les épices du plat se marieront à merveille avec les tanins soyeux et le côté aromatique sans excès de ce vin.
Evidemment il faudra quelques pesos et un bon caviste qui saura vous réorienter s'il n'avait pas cette bouteille. Attention, ne vous laissez pas entraîner par un caviste "assoifé" de dineros vers les grands vins de la maison Torres (Mas La Plana) qui écraseraient les épices plutôt douces de ce plat.
Avec les tomates farcies, une jeune rouge Patrimonio, le carafer une heure avant de servir.
Sur les escalopes et les gnocchis, un bordeaux souple comme un jeune Lussac Saint Emilion, du goût mais des tanins pas trop marqués.
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